Challenge accepted ? + Akari

Mon soucis du jour : la jambe de Lin ! Cette jambe qui le fait souffrir depuis un long moment, il n’accepte pas facilement la douleur, ce que je peux comprendre. Ne pas avoir un corps en entier est vraiment gênant. Je le vois venir tout fringuant vers moi, je me demande bien si cela peut être une bonne chose, mais bon, je préfère le voir sourire. J’ai eu une petite idée la nuit dernière, j’ai même dû me lever puisque je ne tenais plus en place dans mon lit… Ce qui malheureusement a rendu mon père bien mécontent puisque que je suis allée au laboratoire sans le prévenir.

Ce que vous devez savoir c’est que j’ai un canapé convertible dans mon bureau si j’ai besoin de dormir un peu. En ce moment, je n’ai pas trop d’insomnies, alors je peux mieux me reposer. J’observe mon amie, et je lui dis en lui montrant le tableau :

« Oui, j’ai peut-être trouvé une solution. Il faudrait que je te refasse un muscle à l’aide de cellule souche afin de le greffer dans ta jambe. » Je lui montre le dessin médical que j’ai réalisé, mais bon, je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus, je tente de lui donner une idée de comment est-ce que je vais réaliser tout ça. «  Je te préviens ça va être très long. Dans un premier temps je vais soit te prélever tes cellules souches soit en créer une en laboratoire. » L’observant un instant, je rajoute prestement :

« Il faut savoir que la mise en culture va être long, je dois en avoir suffisamment afin de pouvoir lui donner la forme d’un muscle. »
Buvant un peu de mon thé vert, je prends une légère pause. « Mais le plus dure va être la suite. Il faut que je raccorde ton nouveau muscle dans ta jambe. Là, je pense que mon père viendra me donner un coup de main. Il faut savoir que si l’on ne raccord pas bien le muscle, il ne servira à rien du tout.  » Je ne sais pas trop ce qu’il va me dire mais bon, je m’arrête afin de le laisser réfléchir à tout ça.

Le jeune homme en face de moi, je me dis que je peux aussi lui répondre comme il se doit. « Et bien, je ne sais pas trop… Est-ce qu’il y aurait une nécrose ? Pour faire en sorte que tout ne guéri pas ? C’est étrange comme situation…..  »  Je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus, je commence tout juste à noter les choses, puis, je réfléchis aussi à ce que je pourrais comprendre un peu plus sur la situation. Je ne tiens pas à ce qu’il y ait encore plus d’hypothèse, mais je ne sais pas vraiment quoi faire de plus pour le moment. Je l’écoute, je vois bien qu’il n’est pas très bien non plus, je vais tenter de le rassurer aussi par la même occasion. « Il faut comprendre que tu as largement le temps de t’y faire. Puis, on verra ensemble aussi au fur et à mesure les avancements.    » Je vois que mon chien l’observe aussi du coin de son panier. Je ne sais pas trop si je peux lui dire ou pas, mais bon, je réponds à mon ami.

«  J’avoue j’ai fait une greffe à mon chien. Mais tu me diras cela n’est pas forcément la même chose.  Seulement, il va mieux, il a mis du temps à s’en remettre, mais maintenant, il court partout dans tout le complexe.   » Je souris, je ne sais pas trop ce qu’l va en penser, mais bon, je vais essayer de faire les choses comme il se doit. De plus, je constate qu’il est nécessaire que je lui donne aussi une explication.

«  J’ai envie de t’aider, après tout, je suis médecin, je préfère voir une personne en bonne santé. Puis, j’ai comme le sentiment que cela peut te permettre aussi d’avoir une vie meilleure.   » Maintenant, je vais aussi voir ce que je peux lui dire de plus. «   Il faut comprendre aussi que… Que j’ai comme l’impression que si je ne soigne pas les gens ici que je sers un peu à rien. C’est compliqué comme situation, j’ai envie de d’aider au mieux, mais je ne voudrais pas que cela ne fonctionne pas non plus.  » Ma mère décédée, mon père triste, j’ai comme l’impression que je dois avant toute chose aider un maximum de gens afin sans doute que la douleur ne passe plus vite. Je vais tout de même continuer sur ma lancée afin de pouvoir soigner encore plus les gens. J’espère aussi que je vais bien y arriver tout bonnement parce que je tiens vraiment à aider les gens.

«  En gros tant que nous n’avons pas plus d’indices concernant cet alter, il nous sera pas trop possible d’améliorer ta jambe.  » Il faut effectivement y aller doucement afin de ne pas trop non plus se tromper. Je souris, je me dis que l’on peut aussi essayer de faire des recherches afin de trouver des solutions pour la suite des aventures de notre ami. « Alors si tu penses que l’espace est déjà occupé, on peut essayer de regarder avec IRM au pire. Comme ça on sera mis au courant sur cette question.   » Il ne faut pas non plus que j’oublie de prendre en compte la situation de mon patient. Je ne tiens pas à ce qu’il soit encore plus mal par la suite. Je préfère aussi me renseigner le plus possible pour avoir un très bon diagnostic.

«  Je peux voir que tu te poses des bonnes questions, il faut aussi comprendre que si cette operation réussie, tu auras de la rééducation avant de refaire à nouveau de l’exercice.  » Il faut y aller en douceur et sans précipiter les choses. Je souris, je me dis qu’il a bien raison. En tous les cas, je l’écoute attentivement avant de lui donner une réponse. « Hum…. Oui, au moins si on n’essaye pas, on ne peut pas savoir.   » Je souris une nouvelle fois, puis, je réfléchis avant de donner une nouvelle réponse. « Et bien, disons que j’aimerais bien que tu retrouves tous tes moyens physiques et mentaux pour que tu puisses être mieux dans ta peau.  » Tout en prenant mes affaires, je mets mes gants. Puis, je lui dis tout gentiment.

« Dans un premier temps, on va faire une prise de sang afin de savoir si cet alter a aussi mis une infection sur ton sang ou autre. Cela peut me permettre de savoir si la greffe peut fonctionner ou si je dois trouver un antidote en même temps.  » Il serait dommage que je ne puisse pas faire tenir la greffe si il y a une molécule ou un produit dans son corps qui m’empêche de faire fonctionner cette opération.

« Je vois. On va y aller doucement afin de trouver des réponses à tout ça.  » Je suis attentive à tout ce qu’il peut me donner comme indices afin de savoir comment est-ce qu’il se sent. Je souris, puis, je me concentre encore plus sur mon travail à faire. Je ne tiens pas à ce que je me trompe et le blesse par inadvertance. De plus, je rajoute tout doucement : « On va voir, et faire des recherches. On va bien finir par trouver. Puis comme tu dis, nous ne sommes pas des spécialistes pour des humains normaux. » J’espère bien que cela va fonctionner et que je vais pouvoir aider mon ami.

« Tout va bien, je vais faire doucement.  » Nettoyant l’endroit dans le pli du coude pour prendre ma prise de sang. Je la fait dans la douceur afin qu’il n’ait pas mal. Je souris, je place mon éprouvette dans un support. Plaçant un bouchon dessus, je continue d’appuyer sur l’endroit de la piqure. Je place par la suite un coton propre pour en faire un pansement. J’espère bien que je vais trouver des choses pour aider mon camarade. « Après tout ça, tu pourras retourner au sport et faire tout ce qu’il se semble très bien pour toi. » Je voudrais qu’il ne perde pas espoir et qu’il puisse trouver un équilibre par la suite.

J’aimerais aussi trouver une solution pour que sa jambe soit guérie. En tous les cas, je note sur un autocollant le nom de mon ami que je colle sur mon éprouvette. Je sors aussi une première feuille pour noter dessus l’avancement des soins. Je regarde aussi pour le mettre au réfrigérateur afin qu’il ne se perde pas. Je ne voudrais pas que le sang ne reste pas comme ça plus longtemps. Je vais aussi le faire lorsque je pourrais m’en occuper. J’ai d’autres prises de sang à contrôler aussi. Dans n’importe quelles situations, il faut toujours prendre le temps nécessaire pour réaliser les tâches importantes.

Je sens que je vais devoir aussi tout noter dans mon cahier, je me tourne vers mon ami, et je lui demande : « Pour moi savoir, est-ce que tu as mal parfois ? Est-ce que tu es fatigué ? Est-ce que ça tire au niveau des nerfs ? » Je sors mon cahier pour noter les informations ce qui va me permettre de mieux comprendre la situation.

Des humains normaux, il y en avait tellement peu aujourd’hui c’était à plaindre, même si Jae Lin n’avait aucun a priori sur ceux qui ne possédaient pas d’alter, il devait bien avouer qu’en avoir un était tout autant une tare du fait que les problèmes soient plus compliqués à gérer par tant de pouvoirs uniques. Fort heureusement pour eux, ils étaient dans cette catégorie qui voulait comprendre tout un chacun et qui se donnait les moyens de découvrir et solutionner ces nouveaux maux qui pour eux sont naturels, mais encore inexplorés du monde scientifique. Qui sait d’où viennent les alters après tout ? C’était une grande question et le mystère tout comme celui de l’existence de l’homme et l’incapacité à reproduire la vie telle qu’elle était il y a tant d’années avant eux. « Je te fais confiance » dit-il simplement avant que la jeune femme ne l’avertisse pour s’occuper d’une prise de sang. Elle était pleine d’espoir et lui voulait y croire, mais il avait cette retenue.

Un sourire parcourt son visage sans s’éteindre, mais il hausse les épaules après la petite plaie nettoyée et passe une main dans ses cheveux. « Je préfère me dire que ça n’est pas sûr, plutôt que de m’y croire déjà et d’être déçu après, on ne sait jamais. Mais c’est gentil, j’aimerai effectivement reprendre le sport » notamment avec son petit ami, enfin, ça il ne le préciserait pas, mais pouvoir courir le matin à côté de lui ou aller simplement entretenir ses gambettes sur un tapis de marche de l’agence, c’était un doux rêve qu’il avait côtoyé de près, mais non sans conséquences lorsqu’il s’y était tenté. La douleur avait été si insoutenable qu’il n’avait pas pu marcher durant deux jours, faute de courbature et d’une intense souffrance de sa jambe blessée. Il soupire, passe les tests en écoutant les questions et répondant le plus simplement possible, sans réfléchir.

« J’ai mal quand je force un peu trop ce qui arrive souvent, je suis limité dans ce que je fais et ça tire oui. Quant à la fatigue, pas tellement, j’étais endurant avant d’être blessé » dit-il et c’était tout à fait vrai, il n’avait jamais vraiment ressenti de fatigue par rapport à sa jambe ou à des efforts particuliers sur cette dernière, juste par ses efforts et ses journées à lui, non directement ce fait là. « C’est rassurant ou non ? »

Il me fait confiance, je suis contente de voir qu’il ne râle pas trop, je suis optimiste, c’est bien vrai, sans doute un peu trop, mais je ne veux pas laisser paraître mes craintes devant mes patients. Je préfère ne pas dire, sauf si je suis forcée à cause du diagnostic médical. Je dois l’avouer que parfois c’est difficile d’annoncer à quelqu’un qu’il ne va pas aller bien du tout. « Oui, c’est pas mal aussi, comme ça on a deux solutions. C’est très bien de passer comme ça, je pense que tu ne seras pas déçu si cela ne fonctionne pas. » De plus, je préfère aussi penser comme ça, ainsi, mon patient et ami ne sera pas trop triste si cela ne fonctionne pas du tout. Il est évident que je lui dirais si l’une de mes actions scientifiques ne marche pas du tout.

Je l’écoute alors ses réponses pour mes questions. Je note tout simplement sur ma feuille afin de ne pas oublier par la suite. « Oui c’est rassurant, cela signifie que ta jambe compense bien. » Je crois que cette réponse nous permet de voir que la science peut aider aussi pour que Jae Lin ait un peu plus de chance pour guérir. De toute façon, je ne vais pas en rester là. Je vais continuer à chercher encore plus afin de l’aider au mieux. Déjà, si j’ai bien compris, il a un muscle en moins, un nerf qui suit patiemment. Un peu de fatigue comme d’habitude, je suppose juste que l’Alter qui lui a fait ça a sans doute dû mettre une toxine ou je ne sais quoi pour empêcher la repousse du muscle. Malheureusement, je n’ai pas de preuve pour annoncer cette hypothèse.

Je suis prête en tous les cas à faire mon travail. J’ai comme le sentiment que je vais avoir du mal à trouver des solutions. Je me dis aussi que pour l’instant, il va me falloir aussi pas mal de recherches avant l’opération. Je ne sais pas trop quoi faire ou dire pour le moment, je souris, puis, je dis tout simplement : « Si cela ne fonctionne pas, est-ce que tu voudras réessayer ou est-ce que tu voudras qu’on laisse ça comme ça ? » Il est normal pour moi que je lui pose les questions de ce genre. Je souris, puis, je ne dis plus rien, je voudrais savoir ce qu’il pense sur cette question.

La jeune scientifique approuvait de ne pas trop se laisser porter par l’idée d’une réussite, évidemment, il savait qu’elle le lui souhaitait, mais rien n’était garantie surtout pas en début de diagnostic. Le genius acquiesce simplement en se demandant malgré tout ce que serait sa vie s’il avait cette chance, c’était humain de vouloir récupérer cette partie de son corps, malgré tout fort entravé dans ses initiatives notamment sportives, mais ça l’était aussi de se dire qu’il n’était pas si mal et que ce n’était pas une nécessité, ayant tout ce qu’un homme pouvait souhaiter : amour, famille, amis, de quoi vivre et pouvoir aider son prochain, c’était ainsi que Lin voyait les choses.

Donnant des détails sur la douleur et sur sa jambe, il se demande, lui qui n’est pas expert en la matière si ses indications les dirigent dans le bon sens et apparemment oui, soulageant le brun qui esquisse un sourire. « Tant mieux alors, c’est un bon début » Il l’observe en train d’effectuer ses transferts dans des frigos, coller des étiquettes avec son nom dessus et l’écoute lorsqu’elle reprend la parole. « Du moment que je n’ai aucune séquelle je n’y vois pas d’inconvénient. Souffrir pour obtenir un résultat ça ne vaut pas vraiment la peine vu que je ne me porte pas si mal que ça » en somme, rester à son état d’origine avec sa jambe un peu douloureuse, mais fonctionnelle lui conviendra dans tous les cas et tant que cela reste ainsi malgré les échecs hypothétiques, il était prêt. « Il n’y a pas grand-chose à faire j’imagine, il faut attendre que tu analyse le sang ? C’est stupide ce que je vais demander, mais on a des scanners ou des radios ? J’imagine que tu en auras besoin, alors autant nous avancer dans le travail » et surtout lui rendre la tâche moins pénible en essayant d’anticiper au mieux, dans la limite de ses compétences bien sûr, mais passer des examens ne relevait pas de cela fort heureusement. « c’est quand même incroyable de se dire qu’on peut produire une partie de muscle avec ses propres cellules, je me demande jusqu’où ça va aller le progrès de la médecine » même s’il était relatifs aux changements inexpliqués de l’apparition d’alters et que c’était plutôt bénéfique, un bien n’arrive jamais sans mal aux yeux de Jae Lin.

«  Oui, je dois analyser ton sang pour savoir si celui qui t’a fait ça a laissé une toxine ou autre molécule qui empêche ton muscle de se reconstruire.   » Je fini de mettre tout ce dont j’ai besoin dans le réfrigérateur. Puis, je lui réponds : « Oui, il me faudra une radio de tes os et oui un scanner afin de voir si l’emplacement est encore disponible et surtout si je peux bien raccorder tes tendons et nerfs au muscle par la suite.  » Je dois avoir toutes les informations afin de mieux comprendre la situation. Je me dis que je ne dois pas négliger les pistes que je peux voir. Je l’écoute attentivement, je lui dis : «  C’est le début, la dernière fois, les scientifiques ont essayé avec un cœur, ils ont placé les cellules sur un support nutritif pour les cellules et elles ont ainsi formé un cœur. Il faut savoir que par contre c’est long la réalisation de cet organe.   »

Tout en regardant autour de moi, je lui dis en sortant un dossier. Sur ce classeur est écrit le nom de mon ami. Je lui dis  gentiment : « On va passer par la radio, je te propose qu’on aille dans la salle d’à côté. Tu vas enlever ton pantalon par contre, je vais juste faire la radio. Il faudra aussi que tu ne bouges pas par contre.    » Sortant de ma salle, je tourne à droite pour aller dans la salle des radios. Je prépare de quoi les prendre. Puis, j’allume l’appareil. Je ne le laisse pas allumer tout le temps. Je regard qu’il soit aussi bien à l’aise lorsque je vais prendre la radio.  Je reste dans la cabine le temps de régler tout ça. Puis, je relis le dossier pour voir que je n’ai rien oublié. Je trouve que pour le moment, on peut avancer pour commencer à réfléchir sur une solution. En tous les cas, je vais tout faire pour l’aider.

Ayant mon jeune patient devant moi, je sais que je ne dois pas oublier de l’aider au mieux. Je lui dis calmement : « C’est parfait, ne bouge pas, je me dépêche.   » Je prends la radio, puis, je regarde que la radio a été bien prise. Toujours à l’aide du micro, je lui dis : « C’est bon, tu peux aller te rhabiller.  » Je mets la plaque à sa place, puis, je regarde le temps que la radio s’inscrive dessus. De plus, je ne comprends pas vraiment ce que je peux dire par la suite. J’ai besoin de cette radio. Je dois comprendre. Elle arrive par la suite, si j’ai bien compris le muscle n’est plus là mais il y a toujours l’os. Je sors avec la radio. Je la dépose dans le dossier, mais j’ai aussi une copie numérique que je peux enregistrer par la suite.

«  Jae Lin, tu sais que tu as encore ton os ? Mais effectivement, on aura la confirmation sur le scanner, mais le muscle lui n’y ait plus du tout.  » Je souris, je lui dis : « Viens regarde.  » Je lui montre, puis, je me dis que cela va être un peu plus compliqué que prévu, mais bon, avec l’aide de mes collègues, je suis contente de pouvoir aider mon ami. Je ne voudrais pas qu’il reste comme ça sans partie de corps. Cela m’intrigue beaucoup, je dois dire que la solution va être assez intéressante à trouver. De plus, je sais que l’on doit faire aussi le scanner. Je lui demande :

«   Est-ce que tu as le temps pour le scanner maintenant ? » Je vais essayer de faire le maximum maintenant afin de pouvoir travailler au plus vite. Je sais que je dois aussi me caller sur l’emploi du temps de mes patients. Puis me souvenant des choses, je rajoute : « Ah avant que j’oublie, tu devras aussi aller voir la psychologue. Je vais avoir besoin de sa confirmation comme quoi tu es prêt pour l’opération. C’est obligatoire aussi si tu veux retourner sur le terrain par la suite.  » Il faudra qu’il y aille afin de pouvoir se reconstruire psychologiquement.  De toute façon, pour retourner sur le terrain, il ne va pas avoir le choix. Puis, il faudra aussi qu’il revienne me voir de temps en temps pour faire un bilan de santé.